Réouverture de l'établissement le 1988 et soutien au Jarl
La fermeture administrative du 1988 Live Club pour une durée d'un mois est une sanction disproportionnée à l'encontre d'un établissement qui a toujours veillé à offrir un cadre sûr et réglementé à ses clients. Alors que l'insécurité progresse à Rennes et que des saccages à l'Université de Rennes 2 ou en ville attribuable à l'extrême gauche se multiplient dans l'impunité, il est inacceptable que ceux qui assurent l'ordre et la sécurité soient aujourd'hui pointés du doigt.
Nous apportons notre soutien total au 1988 Live Club et à son personnel de sécurité, en particulier à Yovan Delourme, dit "Le Jarl", qui, par son engagement, incarne l'exigence d'une sécurité rigoureuse et efficace face aux débordements. Face à une rave-party illégale, qui n'aurait jamais dû avoir lieu et dont les débordement ont crée des troubles à l'ordre public, le 1988 Live Club a réagi avec fermeté et responsabilité.
Le véritable scandale, c'est l'impunité accordée aux organisateurs de cette fête clandestine, qui ont mis en danger la sécurité des clients du club. Plutôt que de sanctionner ceux qui assurent l'ordre, les autorités devraient concentrer leurs efforts sur la lutte contre ces activités anarchiques d'extrême gauche qui ont régulièrement lieu à Rennes.
Nous appelons donc à la réouverture rapide du 1988 Live Club et au respect du travail de ses agents de sécurité, dont le rôle est indispensable pour garantir la tranquillité de tous. Nous continuerons à soutenir une politique de sécurité ferme et efficace dans nos villes, et soutient tous ceux qui, sur le terrain, agissent pour protéger nos concitoyens.