À Rennes la justice ferme les yeux sur les violences d’extrême gauche
La relaxe générale prononcée en faveur de Simon Buxeraud, Raphaël Gruel, Hoël Dumont, Pierre Le Ménéc, Thabara Régnier, Léo Desilles et Félix Mennerun, tous militants d’ultra-gauche, est une insulte au droit et à la justice.
Deux étudiants affiliés au RN agressés violemment pour leurs opinions, n’obtiendront aucune justice.
Les magistrats ont trouvé un motif hallucinant pour relaxer l’ensemble des agresseurs : les images du drone, pourtant accablantes, seraient inexploitables car l’appareil n’aurait pas opéré dans un périmètre légal.
En d’autres termes : peu importe la réalité des faits, l’agression restera impunie.
Cette décision est un véritable laisser-passer pour les violences d’extrême gauche dans une ville, Rennes, tristement célèbre pour ses agressions politiques répétées.
Elle confirme l’existence d’un traitement de faveur pour les milices d’extrême gauche en France, au mépris des victimes. Ceux qui imposent la terreur politique sur les campus peuvent agir sans crainte de sanction.
Parmi les accusés, Raphaël Gruel, au demeurant accusé de viol par sa propre famille politique, et Simon Buxeraud, militant violent bien connu. Tous ont pu bénéficier d’une indulgence sidérante de la part de la justice.
Ce verdict s’inscrit dans une longue série de décisions scandaleuses, où les violences graves de l’ultra-gauche ne sont jamais punies à la hauteur de leur importance.
Quand le droit abandonne son rôle de rempart contre la violence politique, c’est la démocratie elle-même qui recule.
Johan Le Padellec - Fédération de l'Ille-et-Vilaine